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Propos insignifiants (II)
26 octobre 2011

Quelques jours en août 2011

Hier, nous avons passé presque toute la journée dans la voiture pour remonter vers notre nord. Il y a une quinzaine de jours, en sens inverse, même durée. Comme les enfants ont grandi, les pauses sont devenues plus courtes, heureusement ! Lors d’une de celles-ci, j’ai eu la bonne surprise de découvrir la couverture de Libération (16 août 2011) consacré à l’écrivain américain Jonathan Franzen, couverture accompagnée de quelques pages. C’est un très bon choix, surtout dans une période estivale assez chargée en actualités. Il est d’ailleurs faux de penser qu’il se passe moins de choses en été. Par exemple, je suis allé voir jouer les WASPS à Agen.

Passage rapide à la FNAC ce matin avec comme objectif l’acquisition du dernier roman d’Amélie Nothomb, « Tuer le père ». Je trouve d’ailleurs ce titre dangereux. Je suis aussi revenu avec Freedom, volumineux roman de Jonathan Franzen. Contraste, j’ai souvent écrit que je trouvais les livres d’Amélie Nothomb beaucoup trop courts. Une belle photo d’Amy Winehouse en couverture du numéro de Rock and Folk (septembre 2011). Dans ce numéro, la mort du rock’n’roll est annoncée deux fois, une fois par Alan McGee et une autre fois dans un article sur les Rolling Stones. Le sous titre de cet article raisonne tristement : « Vieillir est la grande épreuve qui attend tout rocker ».

Eric Naulleau tire à vue sur Amélie Nothomb dans sa première chronique de Paris Match (18 août 2011). S’en prendre à une personne célèbre constitue une excellente façon de faire parler de soi, de susciter un buzz pour reprendre un terme à la mode. Je lui donne d’ailleurs raison en l’évoquant. J’ai lu les 50 premières pages de « Tuer le père » qui me laissent une impression mitigée. Comme beaucoup, je suis fidèle mais nostalgique des premiers Nothomb. 

Je viens de terminer « Tuer le père » qui ne me laissera pas un souvenir impérissable. Je vais me replonger dans « L’enfant des ténèbres » d’Anne-Marie Garat, que je savais ne pas avoir abandonné pour longtemps.

Un bref séjour près de N nous a permis de terminer nos vacances d’été même s’il reste encore quelques jours avant la reprise. J’ai réussi à identifier « Tuer le père » : c’est une nouvelle. Du coup, une nouvelle assez longue… Comme chaque année à la même époque, je suis heureux de reprendre mais je ne m’imagine pas encore en professeur. Cela viendra vite !

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